Le problème, pour moi qui enseigne depuis si longtemps dans la même institution, c’est que j’ai déjà tout vu. Ceux qui sont trop jeunes pour supporter la pression, les hommes matures qui se croient pénétrés du génie comique, les expérimentateurs – comme Jerome – qui ont ou pas l’engagement suffisant pour parvenir à leur but. Le plus souvent, malheureusement, c’est voué à l’échec. Nos étudiants arrivent avec leurs écrits, mais aussi une litanie d’autres soucis. La plupart souffrent d’anxiété. Nombre d’entre eux ont des problèmes financiers. Quelques-uns se débattent avec leur identité sexuelle.