Quand les mots repartirent…
Quand les mots repartirent leurs fictions restèrent
Cumulo-nimbus et pluie, eaux lexicales raclant les caniveaux,
sculptant un monde.
Le stylet vivra dans l’éclair.
Une lumière hardie de l’étain à qu’importe.
Désormais des observations discrètes produisent un son sans
drame, du genre je suis une bulle,
faites de moi la mer. O, faites de moi la mer.