Lyrique
extrait 2
Si je l’ai vu
Je l’ai senti.
Si je l’ai senti
j’ai appris de lui.
Et quand la lune
ouvre l’horizon,
voilà que mardi s’en va.
La lune
la soie
le maïs
le rail.
J’ai senti cela et
un minuit
cela ne me lâcha plus.
Je gémissais.
Je vivais de lubies
et de soies et de choses.
Je rembourrais une chaise,
une poupée.
Je clignais des yeux
et pleurais et.
…
/ Traduit par Stéphane Bouquet