On dit parfois : "J'ai vécu un véritable enfer". Kündz avait souvent rencontré cette locution dans les livres ou dans les films, mais il savait que ce n'était qu'une métaphore. Même parmi les rescapés de l'Holocauste, rares étaient ceux qui avaient vécu l'enfer au même degré que les gens qui avaient provoqué l'ire de M. Sarotzini.