Et si votre posthumanisme n'était que le résultat d'une angoisse, celle d'être humain ? Vous savez, la peur de devoir accepter nos faiblesses ou la vulnérabilité de nos corps ?... Je dis, en d'autres termes, que le posthumanisme n'est qu'un symptôme, celui du consummérisme, et qu'il ne s'agit là que d'une phase de la culture de la consommation que nous fait vivre le capitalisme globalisé.
(pp.10-11 - traduction libre)