C'était cette facette de sa personnalité qui l'avait attirée, celle qui lui promettait une vie plus excitante, plus imprévisible. Mais c'était il y a une éternité, et Hen comprenait à présent que ses désirs d'alors étaient en partie influencés par la part maniaque de sa maladie. Elle avait une notion romanesque du mariage, de celles qu'on trouve dans les biographies : brouillon, créatif, romantique et mêlé d'infidélités.