Soyez sans crainte : je ne suis pas en train de plaider pour la déprime au petit déjeuner et le dégoût au dîner. […] Ce que je souhaite, c’est plutôt que nous devenions un peu plus respectueux du monde animé qui nous entoure, qu’il s’agisse des animaux ou des végétaux. Cela ne signifie pas forcément renoncer à toute utilisation, mais accepter de limiter un peu notre confort, ainsi que notre consommation de biens biologiques.