[L’ambassadeur] Zorubin, qui ne quittait pas le Président des yeux, comprit instantanément que la limite était atteinte et que le chef de l’État ne se laisserait pas mener plus loin. Au point où en étaient les choses, il n’hésiterait plus à déclencher son attaque, quoi qu’il dût en résulter. Une fois de plus, le destin du monde était en péril.