Pour Rick Deckard, un robot humanoïde en fuite, un robot qui avait tué son maître, qui possédait une intelligence plus vaste que celle de bien des êtres humains, mais qui ne respectait pas les animaux et se trouvait dénué de la faculté empathique qui lui eût permis de se réjouir des succès et de pleurer les défaites d’une autre forme de vie que la sienne, pour Rick Deckard, un tel être était le parangon du tueur.