"Sang ! Obéis-moi ! Rebrousse chemin,
Deviens un lac et ne te fais plus rivière.
Arrivé à l'air libre,
arrête-toi ! Et dresse un mur de caillots,
assez solide pour contenir le flot.
Sang, ton ciel est le sommet du crâne ;
ton soleil est l’œil ouvert ;
ton vent, le souffle dans les poumons ;
sang, ton monde est clos. Restes-y !"