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Mais le fait de dire qu'il existe des catégories, empêche de penser autrement. C'est ce qui amena la plupart des filles jeunes, se connaissant mal et ne jouissant que par masturbation, à penser qu’elles étaient « clitoridiennes » et donc qu'elles ne pouvaient pas avoir de plaisir autrement. Il leur fallait donc s'y résigner.