Le journal. Pour Monsieur Spitzweg, on ne saurait lire les journaux. Encore moins les réduire aux nouvelles principales. Un journal ça s’achète, se touche, se déploie, ça prend l’odeur du café-crème à la terrasse du Rouquet, l’angle de la rue des Saints-Pères et du boulevard Saint-Germain. Arnold arrive tous les matins en avance pour déguster ce quart d’heure privilégié.