L’appart’ se situe au dernier étage d’un immeuble haussmannien. Modeste triplex qui doit avoisiner les quatre cents mètres carrés. (Je l’ai lu dans Voici.) Dès l’entrée, on en prend plein les mirettes, chaque mur est orné d’un tableau dans le style pop art. Des tas d’objets vintage sont éparpillés aux quatre coins des nombreuses pièces que nous traversons. Cela va du flipper Gotlieb jusqu’au juke-box Rock-Ola en passant par la pompe à essence Texaco. Des joujoux de vieux bourges, en somme.