Julliard ne craignait que Georges Arnaud, et il y avait de quoi. Georges inquiétait tout le monde. Il vous plantait son regard de ciel noyé en plein dans les yeux, et ne lâchait prise qu'après avoir obtenu satisfaction. C'était un dur à cuire, qui mangeait tout cru ses adversaires. » (La prochaine fois que je demande une avance chez Julliard, je tente le coup. Je leur plante mon regard d'épagneul dans les yeux et je ne lâche pas prise.