La destruction, c'est la créativité du pauvre. Pauvre, non pas au sens économique, mais du Moi, qui se sent dans la situation de ne pouvoir rien faire et de passivité totale. Avant de disparaître il reste toujours quelque chose de possible, détruire, et à la dernière limite si on ne peut plus détruire les autres, se détruire soi-même.