En soixante-dix pages d’une écriture réalisée à quatre mains, les auteurs nous amènent à l’essentiel. Je cite « Nous sommes au centre du bois, mais nous n’en sommes pas le centre. Le centre c’est la joie ». Un pur joyau de lecture, poétique sans aucune sensiblerie ! Adrien et Alexandrine que Belisama la grande déesse des Voconces vous protège à l’ombre de l’arbre double, le cyprès-chauve et le cyprès-moine. A lire et à offrir. J.P.
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