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Critiques de Philippe Ogaki (176)
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Les Mythics, tome 8 : Saint-Pétersbourg

Graphiquement, c'est globalement du très bon boulot, très expressif, avec ce qu'il faut de dynamisme. Le trait est agréable, les personnages plein de charme et la mise en scène très maîtrisée. Que demander de plus ! En attendant, les jeunes fans sauront prendre plaisir à cette lecture pleine d'action, de rebondissements et de rythme !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Les Mythics, tome 8 : Saint-Pétersbourg

Résumé : Abigail a été invitée en Russie pour participer à un concours de chant. Neo va être invité par un mystérieux inconnu, Ozerov, à la retrouver, car ils sont concernés par les prédictions d’une mystérieuse jeune fille, qui pourrait être dangereuse et au service du démon.



Mon avis : Comme dans le tome 7, deux héros vont se retrouver et vont devoir allier leurs forces, et devoir choisir face aux ruses des gens qui les entourent.



Cette fois-ci, il s’agit d’Abigail et de Neo, qui vont se retrouver en Russie. Deux personnes s’intéressent de très près à eux, Ozerov qui dit être de leurs côté, et leur donne des indices pour réaliser leur mission, et une jeune femme voyante, qui prédit l’avenir de tous sauf le sien.



Nos deux héros vont devoir apprendre à se connaître et à collaborer pour pouvoir avancer de front, et surtout résister aux illusions. Ce sera l’occasion pour le lecteur d’en savoir sur le passé douloureux de Neo.



Un tome plus intéressant, mêlant vérité et faux-semblants, et qui relance mon intérêt pour la suite de la série.
Lien : https://docbird.over-blog.co..
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Les Mythics, tome 8 : Saint-Pétersbourg

Deuxième rencontre entre Abigail la chanteuse allemande et Neo, le rebelle charmeur grec !

Neo a bien du mal à dominer sa colère et n’écoute que très peu les conseils d’Héraklès (qui n’est pas son ancêtre pour rien : charmeur lui aussi, il a brisé le cœur de Freya !)

Ils sont toujours à la recherche de Gaïa qui pourrait les aider à affronter le chaos, force destructrice que le Mal veut invoquer pour anéantir le monde.

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Meteors, tome 1 : Le règne digital

Bof, bof. Je me suis assez vite perdue dans le scénario de cette bande dessinée de science-fiction à l’allure de dessin animé.
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Meteors, tome 1 : Le règne digital

Fred Duval ("Carmen McCallum", "Travis", "Hauteville house", "Gibier de potence") a déjà livré plusieurs séries de science-fiction chez Delcourt et récidive ici en s’inspirant des grands classiques du genre.



L’action se situe en 2134 dans un environnement grandement dirigé par des IA (Intelligence artificielle). Des IA ont déjà été élues à la tête de plusieurs nations (il n’est pas dit si le vote était électronique) et seul quelques zones dites analogiques sont dépourvues d’IA et font figure d’îlots sous-développés au milieu de ce règne digital. C’est de manière fort crédible que l’auteur intègre plusieurs éléments futuristes à son récit, tels que des scaphandres-armures de combat, nanotechnologies, vaisseaux et implants cérébraux. Un désert du Sahara pollué par des poussières nano-technologiques ne fait que renforcer cette impression de futur lointain crédible.



Au sein de ce décor très cohérent, Fred Duval installe un contexte politique intriguant et quelques éléments mystérieux. Les IA censées servir aveuglement la cause humaine semblent ainsi cacher certaines choses, tandis que la découverte du cadavre d’un cosmonaute russe flottant dans l’espace et censé être décédé sur Terre il y a plus de 160 ans laisse les scientifiques et le lecteur perplexe.



Au niveau du graphisme, Philippe Ogaki ("Les Guerriers du silence") livre surtout de l’excellent boulot au niveau des décors et des éléments futuristes. Le bonus en fin d’album est à cet effet extrêmement riche au niveau du design de ce décorum futuriste. Au niveau des personnages le trait aux légères allures manga d’Ogaki semble par contre moins à l’aise, même si cela reste de très bonne qualité.



Malgré un univers très riche, les auteurs parviennent à garder une trame fluide. Le plus grand nombre de page permet à cet effet de ne pas étouffer le lecteur dans une densité d’informations trop élevée. De plus, le fait de régulièrement alterner les différents endroits/situations permet également de donner du dynamisme et un bon rythme de lecture au récit.



Bref, début très prometteur pour cette nouvelle saga de science-fiction. Il restera surtout à voir comment les auteurs vont exploiter le phénomène de brèches temporaires qu’ils mettent en avant.
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Meteors, tome 1 : Le règne digital

Imaginez un monde ou une intelligence artificielle gagne les élections démocratique. C’est le concept de base de ce récit. Il y a plusieurs niveaux d’intelligence artificielle dans cet univers, certaine ne vont pas plus loin qu’obéir aux ordres, d’autres sont capable de concevoir le mystique, l’ambition personnelle…

Mais voilà qu’on découvre une faille spatio-temporelle, et une éventuelle rencontre avec une espèce encore plus évoluée risquerait de mettre l’ordre actuel en défaut.

Ce premier tome met les éléments en place : une jeune fille fugueuse dans le désert, un cadavre de cosmonaute surgi du passé perdu dans l’espace, les IA matérialisées sous forme de Gorilles vivant dans une jungle, un journaliste vedette se faisant arrêter… Le tout peut paraître assez compliqué, il y a beaucoup d’éléments à assimiler, entre cyberpunk et space opéra, avec des personnages attrayants, mais pour moi, la magie prend forme. Le graphisme est à la hauteur des ambitions, dynamique, beaucoup de détails pour mettre en évidence l’aspect technologique avancé de cet univers et des décors impressionnants. Ça fonctionne parfaitement, même si quelques effets dans le style manga m’ont parfois agacé, surtout l’effet radial pour décrire les chocs. Mais cela reste un détail, il y a beaucoup d’inventions dans cet univers foisonnant, créatif et original, et des surprises, des rebondissements qui rendent l’histoire particulièrement haletante et prenante, et une conception de société originale, dans le style dystopique, vraiment bien construite, qui pose des bases vraiment très solides pour soutenir ce récit. J’ai pris beaucoup de plaisir dans cette lecture, autant pour l’histoire que pour le graphisme, maintenant il reste à espérer que la fin soit à la hauteur.
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Meteors, tome 1 : Le règne digital

J’ai proposé cette BD que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam pour une LC, simplement en lisant le pitch. J’avais 50% de chances de me planter (30% car c’est rare que les BD Delcourt me déçoivent).

Hébé j’en suis comme deux ronds de flan tellement c’est bien !



L’ambiance est très orientée IA/cyberpunk. Le futur n’est pas trop éloigné mais pas trop proche non plus vu l’implantation humaine sur la Lune et Mars visible depuis l’espace. Les mondes et les gens sont ultra-connectés. Lassés de voir des politicards planter les nations et la planète, les peuples ont finalement voté pour des gouvernements dirigés par des intelligences artificielles. Evidemment, les IA ne risquent pas de prendre des décisions sur la base de leur seule ambition, pas vrai ?

La réponse est un choix scénaristique en fait. L’auteur peut choisir de répondre « oui, bien sûr » ou « il n’y a aucune raison ». Fred Duval prend clairement la deuxième voie.



Plusieurs récits parallèles se déploient doucement, dont les acteurs ne se connaissent pas mais qui tous se retrouvent dans une situation où les IA dirigeantes complotent. Ça rappelle un peu La Chute d’Hypérion de Dan Simmons. Les énigmes sont accrocheuses mais le décor l’emporte du point de vue plaisir. En particulier le visuel que se donnent les IA – justifié par le rappel des espèces éteintes à cause de l’homme – et le décor virtuel changeant dans lequel elles évoluent est fascinant.



Je connais peu Fred Duval, seulement à travers l’excellent Hauteville House, mais je suis à présent sûr d’attaquer d’autres pans de son œuvre une fois Meteors terminé. Je penche en particulier pour Mousquetaire et Moriarty.

Quant à Ogaki, son style dessin animé limite manga est très attrayant. Ses machines exploitent bien ses études en design industriel ; il n’oublie pas les boulons.



Une chouette découverte.

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Meteors, tome 1 : Le règne digital

Pour ce première tome de Meteors, on découvre une humanité qui se fait dominer petit à petit par l’Intelligence Artificielle. Celle-ci traque les ennemis de l’IA et cherche à devenir l’avenir de l’humanité.

L’histoire est assez sympathique mais peut-être un peu trop dense. Ce premier album veut tout dire et se perd un peu dans les différentes intrigues et les nombreux personnages. On manque aussi d’empathie pour ces différents personnages, tant ils ont peu de scènes pour se démarquer.

A part ça, le récit est plutôt plaisant, on découvre une IA intelligente totalement consciente et une autre, dite de Turing, encore relativement attachée à l’humain. Évidemment, une force d’opposition humaine s’est développé face à cette prédominance de l’IA et son but est de découvrir une race extraterrestre qui, potentiellement, pourrait être une alliée face à l’IA.

L’idée de bulles différentes selon si c’est une IA ou un humain qui parle est intéressante, tout comme les dossiers en dehors de la BD pour mieux comprendre les personnages et l’univers de la série. Mais ces dossiers souffrent d’une qualité visuelle déficiente, je ne suis pas convaincu par des textes en blanc sur fond bleu… l’écriture noire sur fond bleu des bulles des IA est bien plus lisible dans le récit, étonnant de ne pas avoir reprit la même !
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Meteors, tome 1 : Le règne digital

Avis portant sur la série:



Peut-on imaginer un monde où les hommes confieraient totalement leur destinée à des intelligences artificielles ? Et si c’était pour les sauver d’un cataclysme écologique majeur ? Bref, cette idée anticipatrice est loin d’être idiote dans un horizon d’une centaine d’années où les dangers climatiques et de pollution menacent notre planète. De nos jours, on se repose bien sur des machines pour réaliser des actes de vie courante de plus en plus élaborées. L’évolution conduira à ce constat. Tout n’est plus qu’une question de temps.



Cependant, quel peut être le problème en pareil cas ? Les individus ne savent actuellement plus faire un calcul mathématique car ils se sont trop reposés sur la calculatrice qui donne le résultat automatiquement. L’homme va petit à petit perdre l’habitude de réaliser un effort. Il va perdre à plus ou moins long terme la maîtrise sur les actes de la vie courante, puis sur l’évolution politique de la planète. Il est d’ailleurs marquant de souligner que l’émergence de cette entité I.A. se fera avec le vote démocratique des populations. Cela rappelle également de tristes heures dans l’histoire de l’humanité. La réflexion sera de mise.



Le monde imaginé par Duval semble être un prolongement direct de l’idée que Stanley Kubrick avait imaginée dans l’Odyssée de l’espace dont nous aurons d’ailleurs droit à un fameux clin d’œil en guise de conclusion. J’ai bien aimé l’univers composé sur le clivage espèce humaine et digitale. L’arrivée d’une troisième entité n’est pas la bienvenue et cela sera d’ailleurs le point d’orgue à une guerre sans merci où les pires craintes se réaliseront malgré la présence volontaire de garde-fou.



J’ai beaucoup apprécié le dynamisme du dessin avec ses décors impressionnants ainsi que la mise en couleur qui donne du relief. Quant au scénario, malgré quelques invraisemblances et des personnages sous exploités, c’est l’un des meilleurs et des plus inventifs pour une très bonne série de science-fiction. Météors est véritablement une réussite du genre. Il est dommage que l’aventure se termine au bout d’une trilogie. On remarquera que la fin est assez ouverte et appelle à un second cycle. Il est vrai qu’avec cette qualité, on en redemande !
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Meteors, tome 2 : Les néoquantiques

Ça fait 20 jours que j’ai lu ce deuxième tome. Il était temps d’écrire mon billet.



La note le montre : je me suis encore bien régalé. Duval et Ogaki font avancer bon train les divers fils de l’histoire. Je suis un peu surpris de voir les IA se faire balader avec autant de facilité, un peu surpris aussi d’en voir certaines manifester des perversions toutes humaines, pour lesquelles on se demande quelle ligne de code dégradée a provoqué cet écart. Je trouve en revanche leur utilisation de la loi et de la communication médiatique très bien pensée.

Le caractère « humain » des personnages de chair et d’os contraste agréablement. Dustin Dinky me fait de plus en plus penser à Han Solo. Noria apporte une certaine fraicheur d’enfance tout en en ayant dans le ciboulot. J’ai aimé aussi la vision des hommes du désert qui n’ont pas changé leur mode de vie d’un iota tout en intégrant les outils et les codes de la technologie moderne.



Les décors virtuels dans lesquels évoluent les IA sont toujours épatants, avec parfois un objet décalé comme une canette de Coca. J’apprécie le design manga de certaines scènes, en particulier celles d’action.



Difficile de voir où cela va nous mener. Cela aussi est positif.

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Meteors, tome 2 : Les néoquantiques

voila une série "anticipation" plutôt sympa et bien menée. Le dessin est efficace, "réaliste" (c'est futuriste donc je ne peux pas vraiment utiliser ce terme) et agréable à lire. Le scénario est très bien ficelé (j'aime aussi les autres séries de Duval) et les personnages attachants et bien trempés
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Meteors, tome 2 : Les néoquantiques

Ce second tome est bien moins passionnant que le premier. Le monde créé par Duval et Ogaki est toutefois très intéressant mais le récit manque de rythme et les personnages de personnalités. Je n’arrive pas à m’attacher à leur sort, à leur problématique et je n’arrive toujours pas à voir où se situe le conflit entre les IA fortes, les IA faibles et les humains, cela reste pour moi assez brouillon même si, je le répète, il y a des idées très intéressantes dans ce monde créé par le duo Duval-Ogaki.

J’attends de voir le troisième et dernier tome pour juger de cette série qui a un fort potentiel.
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Meteors, tome 2 : Les néoquantiques

Le premier tome m’avait emballé, ce second confirme tout le bien que j’en ai pensé. Je l’ai même trouvé meilleur au niveau du graphisme, moins d’effets à la manière des mangas et des décors encore plus fous. Pour ce qui est du récit, il y a toujours de l’action, des surprises servis par des personnages attachants. Entre cyberpunk, dystopie et space opera, je suis comblé.
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Meteors, tome 3 : La faille de Karpov

J’ai beaucoup apprécié le tome 1 et le tome 2, et le final se tient tout à fait à la hauteur, cette série ravira les fans de SF.
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Meteors, tome 3 : La faille de Karpov

La guerre entre l'IA forte et les Turing atteint son paroxysme et ce sont les humains qui en font aussi les frais. Une guerre qui signe peut-être la fin de l'humanité…

Un troisième tome avec un peu plus d'action mais je suis toujours frustré par ce récit qui manque de cohésion et de personnages plus attachants. Il y a de bonnes idées mais c'est trop brouillon pour moi, la guerre entre les IA ne riment à rien et puis les relations entre les humains et les IA n'est pas claire, il y a un peu de tout : jouet, assistant, esclave, égal, supérieur… bref, pour une série en trois tomes, il y avait trop de choses et notamment cette histoire de « faille ». Un peu plus de simplicité aurait rendu le récit plus intelligible et plus passionnant.

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Meteors, tome 3 : La faille de Karpov

Une fin plutôt apocalyptique, finalement.



Un choix parmi plusieurs solutions qui se présentaient devant Fred Duval. Je ne crois pas que j’aurais fait le même mais ça ne veut pas dire que je n’aime pas. Cela m’étonne plutôt.

Un choix qui se base sur l’hypothèse que les IA récupèrent, d’une manière ou d’une autre, tous les tics émotionnels de l’humanité qui peuvent mener aux tensions et à la catastrophe : peur de l’inconnu considéré comme menaçant sa suprématie, volonté de maintenir le contrôle par tous les moyens possibles. On est vraiment dans le même moule que les IA d’Hypérion et Endymion de Dan Simmons.

Il y a peut-être aussi l’idée que ces comportements n’ont rien de spécifique à l’humanité, qu’ils font partie des règles qui apparaissent spontanément dans la lutte pour la survie qui mène toute la vie.

Ou tout au contraire, l’idée que tout ce que crée l’humanité ne peut qu’hériter de ses comportements en apprenant à son contact.



Je philosophe, je philosophe… ce n’est pas un essai, c’est une bonne BD d’action dans laquelle l’humanité est bien malmenée par ses créatures, mais dont l’espérance n’est pas absente. On peut même y retrouver un épisode biblique digne de Noé.



Vaut clairement le détour.

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Terra Prime, tome 1 : La colonie

Un Space opera qui, c'est vrai, peut faire penser à d'autres histoires du genre, mais en même temps j'ai trouvé cette BD très agréable autant au niveau des dessins que des personnages, on y trouve plein de facettes comme le savant fou qui joue avec la génétique mais aussi le "maire" autoproclamer parmis les survivants du crash qui fait tout pour imposer son totalitarisme aux survivants humain en essayant sournoisement d'exploiter le peuple autochtone, l'héroïne se dresse contre lui mais ne peut résister et s'enfuie dans les terres inconnus, va elle prendre sa revanche ? Va elle réussir à unir les peuples et faire basculer l'autorité humaine à son avantage ?

Je n'attend qu'une chose connaître la suite.
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Terra Prime, tome 1 : La colonie

Après trois générations passées dans un vaisseau spatial à la recherche d'un lieu nouveau où vivre, les Hommes découvrent l'existence d'une planète qui semble idéale.



Mais des divergences d'opinion se font sentir au sein du vaisseau. Faut-il tenter la conquête de ce lieu? Que risquent-ils de trouver là-bas?



Une BD d'anticipation passionnante qui pose des questions liées au respect de l'autre, à l'évolution de l'espèce, à l'amour...



Belle découverte!
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Terra Prime, tome 1 : La colonie

Une belle découverte avec cette histoire SF, écologique et féministe. Les dessins sont très beaux sans compter la mise en couleur qui est splendide ! Je me suis arrêtée durant ma lecture sur certaines cases qui sont vraiment détaillées et magnifiques. J'aime beaucoup l'héroïne qui est un personnage intelligent, calme et qui se bat contre l'injustice et l'absurdité de la situation dans laquelle se trouve son peuple. Une belle découverte, j'ai hâte de me plonger dans la suite !
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Terra Prime, tome 1 : La colonie

Malgré un scénario assez classique, ce premier tome reste pour moi un bon moment de lecture. Les grandes et belles idées sont là : écologie, antimilitarisme, antispécisme et féminisme...

Les décors sont fouillés et je les ai trouvés plutôt réussis.



Dommage cependant que les autochtones parlent la même langue que les humains (et/ou que personne ne semble trouver ça surprenant), le récit perd grandement en cohérence et en crédibilité.

Bon, et puis un dernier détail négatif : si même les non-terriens se mettent à imposer la position gynécologique aux femmes en cours d'accouchement, où va l'univers !! ;)



Maintenant, il va falloir patienter jusqu'en 2016 pour découvrir la suite, quelle torture !
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