« Pour chaque Picasso, ou presque, il y a un roman à vivre, une intrigue amoureuse à démêler, un choc ou une révélation historiques à déchiffrer. Le XXe siècle est un théâtre aux enregistrements trompeurs. En vérité, sa substance se joue là. Le monde n’est ni une photographie, ni un film, mais plutôt une peinture ou une sculpture animée, et Shakespeare, par exemple, lorsqu’il veut non plus seulement nous montrer peut s’appeler tour à tour Rembrandt, Vélasquez, Goya, Cézanne ou Manet. »