Très tôt, bien avant le Sacre, j’ai entendu le message de mes aïeux : on n'exige pas d'un roi qu'il dise des choses mémorables mais qu'il les fasse.
Je souhaite qu'on retienne de moi, un jour, en forme de compliment posthume :
— Jamais personne ne vendit mieux ses paroles. Il rendit tout précieux par le choix et la majesté, à quoi la rareté et la brièveté de ses paroles ajoutaient beaucoup.