La vie d’Ellen n’était pas facile ni vraiment heureuse, mais c’était le lot des femmes.
C’était un monde d’hommes, et elle l’acceptait comme tel.
L’homme possédait les terres, la femme les administrait.
L’homme s’attribuait tous les mérites de la gestion, et la femme louait sa clairvoyance.
Élevée dans la tradition des grandes dames du Sud, elle avait appris à porter son fardeau tout en conservant son charme quelque peu austère.