Le Père Pierre Amar est licencié en droit, Master de théologie.
Il est curé de paroisse dans les Yvelines et l'un des fondateurs du site "Padreblog", qui offre une parole de prêtres, franche, directe et réactive sur l'actualité.
Egalement auteur de spectacles pour les familles, il fait partie de la nouvelle génération de prêtres qui s'investit dans un apostolat numérique.
Je retiendrai cette histoire longtemps : devant la souffrance, physique ou morale, il n'y a parfois rien d'autre à faire que de se taire et prendre la main de celui qui souffre.
Mes yeux se ferment. La respiration se calme et la tristesse diminue. Le remède est tellement simple ! Cela va mieux parce qu'une infirmière, peut-être débordée, sûrement débordée, a juste pris un peu de temps pour me prendre la main, simplement, en silence. Ce n'est rien et c'est pourtant énorme.
"Adieu veaux, vaches, cochons, couvée"
Quelle figure ici utilisée par La Fontaine et marquée par la juxtaposition de mots vise généralement à donner du rythme à la phrase ou à mettre en valeur l'abondance.