C’est toujours la même chanson : même submergées par des troupes d’orques et de kobolds cent fois supérieures en nombre - épaulées qui plus est par des dragons, des balrogs et Zlatan Ibrahimovic -, même données perdantes à dix contre un par les bookmakers, les forces du bien finissent, dans la littérature fantasy, par triompher de celles du mal [•••]