Après la danse groupée, guerrière des lamineurs autour du serpent de fer brûlant, l’atelier d’étirage semble prosaïque et froid, le travail pauvre, ses effets peu perceptibles. Les laminés ont subi une réchauffe partielle dans un foyer intermédiaire. Une extrémité a été portée au rouge, soumise à l’action brutale d’une presse à excentrique qui l’a étrécie. On appelle ça « la pose des soies ».