Dans - A la chaleur des hommes-, publié en 1966, Roger Rabiniaux, écrivain truculent, chante les louanges des bistrots: "Heureux bistrots ! Où les hommes se retrouveraient-ils mieux que dans ces salles communes où la satisfaction de manger et de boire créé des complicités que ne permettent pas la rue ? [...]Heureux bistros ! petites églises de la fraternité populaire" (p. 171)