Il avait suffi d’un rayon de soleil, d’un souffle parfumé, du friselis des ramures, de l’enchantement d’une nuit paisible pour déclencher cette désincarnation lente, douce, ineffable, pour plonger au cœur d’une spirale fascinante qui ressemblait étrangement à l’idée qu’il se faisait de la mort.