La Société des nouvelles recherches psychiques méritait la réputation de sérieux qu'elle avait acquise en Europe. Elle n’admettait en en son sein que des adhérents jouissant d'un parfait équilibre mental, de préférence habitués par leurs fonctions à des méthodes d'investigation rigoureuses. Elle se flattait ainsi à bon droit d'échapper au soupçon de mysticisme voire d’hystérie, ou de charlatanisme, comme cela avait été souvent le cas par le passé pour d'autres organismes analogues.