L’homme livresque a, de l’existence, sentiment différent des autres hommes. Il a tant vécu, par mots interposés. Il a tant voyagé, tant vu, tant souffert, tant
aimé ! Plus vite qu’un autre, il désire poser le joug. Monsieur Dufourcq n’avait vécu que pour les livres, et par les livres. Vincent bachelier, prêt à devenir libraire à sa place, il jugea qu’il avait, pour l’essentiel, achevé sa tâche.