L’habitude d’ainsi communiquer avec l’animal qu’il allait chevaucher pour la première fois lui venait de sa mère, qui laissait ensuite glisser ses doigts le long de la tête vers les naseaux qu’elle flattait doucement. C’était une manière de dire: «Tout doux, mon beau, nous allons nous promener ensemble…» Elle savait qu’ensuite elle pouvait calmement se hisser sur la bête