Faut-il penser que Gödel déforme en quelque sorte la philosophie classique, la logique et ses principes de sens commun pour y faire entrer ses propres peurs ? Ou bien, faut-il reconnaître que ce complexe qui nous est commun, de philosophie, de logique, de bon sens, contient déjà cette « folie » que Gödel ne fait qu’y révéler ?