ALIDOR : Clarine, je suis tout à vous,
Ma liberté vous rend les armes,
Angélique n'a point de charmes
Pour me défendre de vos coups,
Ce n'est qu'une idole mouvante,
Ses yeux sont sans vigueur, sa bouche sans appas,
Quand je la crus d'esprit je ne la connus pas.
Acte II, Scène 2, (v. 359-365).