Elle disait, je suis vivante, et c'était exactement ça, avec elle, j'étais vivant. Tout dans cette cabane me semblait merveilleux. Les râteaux, les pelles, les pioches, les arrosoirs qui pendaient à des clous. Merveilleux les tonneaux, les paniers en osier, les trucs en ferraille dans un coin. Merveilleux les rayons de soleil où s'étiraient paresseusement les grains de poussière. Merveilleux de se promener à poil dans ce petit palais tapissé de toiles d'araignée.