Peu après Piranesi, Ponce, artiste français, relevait une série de plafonds de stuc maintenant détruits, et écrivait, vers 1789, que «plusieurs statues qui sont à la villa d'Esté, au palais Farnèse, chez le cardinal Albani et mille autres choses curieuses qu'on admire à Rome, ont été tirées de la villa impériale ».