Je ne peux, chaque lundi matin, me mettre en deuil pour les cinquante ou soixante morts de la route, aller brûler un cierge pour tous les avions qui s'écrasent au sol. La mort ne nous effraie - ne vous effraie - qu'en escouade. Un mort isolé, même rue Curiol, à deux pas, ne vous touche pas. (chap. 12)