Charles se mit à planer et fut bientôt complètement parti.
Ensuite, l'ordinateur se mit à le faire mourir, juste un peu, tout près du froid absolu, juste assez pour que son âme soit un peu frileuse et veuille se libérer.
Au bord de l'abîme, l'âme de Charles, maintenu entre deux temps, deux espaces, se mit à osciller de plus en plus fort.