Les sarcasmes vont bon train, on lui reproche de ne pas vouloir mener les hommes au combat, de les dorloter, de ne penser qu’à ménager l’électeur. Il y a des jours où il se sent écœuré : à se demander, même, s’il restera au front, s’il ne vaudrait pas mieux retourner à la Chambre, où la commission de l’Armée lui permettrait de faire œuvre plus profitable.