[…] le chemin louvoyait, côtoyait, contournait. Fruit de l’intelligence… millénaire que les hommes avaient exercée pour aménager l’hostilité de ce terroir, son tracé était tout simplement admirable. Finalement, de raidillons en carrefours, les chemins tissaient un réseau qui cimentait l’unité de la sierra de Guara et peut-être même la fondait-il. (p. 35)