D'où me venait ces bouffées de violence dont le ridicule n'était masqué que par ma solitude? Qui frappait quand je frappais? Car, à l'instant même où je me déchaînais, il y avait quelque part, dans ma tête ou dans le ciel, un inconnu très calme qui observait la scène avec une indifférence un peu lasse. Etais-je celui qui frappait ou celui qui regardait?