Alors, dans mon cerveau fiévreux, a germé un jour cette question : Est-il possible de créer des boucles infinies en littérature ? Est-il possible d'enfermer un lecteur entre quatre pages, au point qu'il en oublie de dormir, de manger, de boire, jusqu'à épuisement ? Un labyrinthe dans une bibliothèque infinie, digne de celle de Borges, où le lecteur tournerait les pages sans s'arrêter, mû par le suspens, la curiosité ou la nécessité.