Henry Kissinger, qui conseillera la nouvelle administration américaine, comprendra pour sa part rapidement que cette guerre est intéressante, puisqu'elle neutralise deux des plus farouches adversaires d'Israel qui peut de ce fait lutter plus efficacement contre la Syrie, alliée des Soviétiques. Il n'hésitera pas a déclarer : "Quel dommage qu'il ne puisse y avoir qu'un seul perdant !"