[…] il n’y a absolument qu’un moyen de contact entre le poème et celui qui veut en prendre vraiment connaissance, c’est l’œil — parce que le poème ne peut atteindre celui qui le reçoit que dans la solitude, l’intimité, le silence et le recueillement que seule permet la lecture individuelle à l’écart. L’amateur de poésie est un poète qui attend la clef qui libérera son propre essor .