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Citation de Fabricienne


Je désire, je meurs. Je ne désire plus, je suis mort. Voilà, j’arrête.
Depuis quelques jours, je trébuche sur ces dernières lignes, sans qu’un mot ne vienne m’en apporter le relais. J’ai essayé. C’est impossible.
Quelque chose en moi se cabre. Qui tient, bien sûr, à la nature du sujet traité. Mais aussi à l’écriture elle-même, exercice de l’écriture dans le déploiement des deux pivots que la structurent, ce que je veux dire, comment le dire – seuls les poètes, qui au sens préfèrent la musique, peuvent s’en affranchir. Le propre de la poésie étant de ne pas toucher terre, pourquoi aurait-il besoin de pivots ?
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