Dans son essai sur la vie de M. Chardin (1780), Cochin indique que "l'artiste repeignait ses tableaux jusqu'à ce qu'il fût parvenu à cette rupture de tons que produit l'éloignement de l'objet et les renvois de tous ceux qui l'environnent et qu'enfin il eût obtenu cet accord magique qui l'a si supérieurement distingué".