Il y a donc bien une “responsabilité blanche“ : non pas à l'égard du passé, qui ne dépend pas de nous, mais à l'égard du présent. Les français·e·s blanc·he·s ne sauraient être tenus responsables de ce qu'ont fait leurs ancêtres ou leurs dirigeants dans le passé, mais ils sont responsables de ce qu'ils font ou laissent faire au présent.