Il y a un sacré vent qui nous pousse dans le dos, un vent brûlant comme l’haleine du diable qui nous aide à nous enfuir. Je crois qu’on a définitivement écoeuré le Bon Dieu et que c’est le diable qui a pris le relais. Peut-être qu’avec lui on aura plus de chance de s’en sortit, finalement ?