Aimer les villes, c'est être résolument moderne, c'est résister à toute nostalgie bucolique qui nourrit les âmes les plus réactionnaires; mais aimer les villes, c'est aussi légitimer leur monstruosité, leur formidable capacité à faire des hommes des déchets coupés de tout lien de solidarité, de filiation ou d'alliance.