Dans les cours de littérature, on ne pouvait parler ni de Nazim Hikmet, ni de Yasar Kemal, ni de Kemal Tahir. Poésie ottomane par-ci, poésie ottomane par là. Alors, je m'étais assigné une mission: placarder des poèmes de Hikmet dans les couloirs de l'école. Mais ces affiches ne restaient pas sur le mur plus d'une heure.