Leurs ancêtres reléguaient les femmes indisposées dans les étables de sorte qu’elles ne souillent pas la maison de leur ignoble contact. Une version de cette pratique – moins draconienne, mais encore très rigide pour l’époque actuelle – avait toujours cours sous le toit de Chitralekha : La femme « souffrante » devait demeurer dans certaines zones limitées, dont étaient exclus la cuisine et l’autel…