Dans le silence, on entendait que le grand orchestre de la forêt : le toc-toc du pivert, le chant du merle et celui de la grive, l'appel du coucou, le bruissement des feuilles, les soupirs du vent, le murmure du ruisseau et le bourdonnement des insectes. Tous ces bruits semblaient composer le finale d'une symphonie amenant la chute du rideau sur le dernier acte d'une tragédie.