“De la monarchie” procède aussi d’une conviction profonde chez lui, selon laquelle les grands lettrés doivent s’exprimer sur les questions politiques de l’heure, à plus forte raison quand la situation l’exige. Ce principe, il l’expose dès les premières pages du livre I, où il écrit que quiconque a été «abreuvé de leçons publiques» (il songe à ceux qui ont étudié la “Politique” d’Aristote), et se détourne de la chose publique, faillit à son devoir.
(p.166)