Je me mets à pleurer. Ce ne sont pas des larmes de douleur. Ce sont des larmes de soulagement. Maintenant que j’ai donné vie aux chansons que j’avais dans la tête et que je les ai posées sur une page, maintenant que mon crayon les a transformées en signes, je peux les laisser partir. Il n’y a plus de tumulte dans ma tête. Le chagrin est toujours là mais je n’ai plus mal.